Le Congo Brazzaville : une réalité, celle des coupures quotidiennes d'électricité. Un quartier sans cesse dans le noir, le mien. Après plusieurs années passées à l'étranger, je vais replonger dans cette réalité.
Des réfrigérateurs, des ventilateurs, des chambres froides à l'arrêt, des postes téléviseurs à jamais éteints, des centaines de mètres à parcourir pour laisser le téléphone portable à la « charge ». La nuit, les rares lampadaires alimentés comme ceux du « Boulevard Raoul » sont investis par une foule d'étudiants qui révisent pendant que les familles qui ne peuvent s'acheter un groupe électrogène retournent à l'ère des bougies et des lampes lucioles.
C'est durant ces grandes parenthèses de vie que j'enquête sur l'acheminement du courant, les mécanismes de survie et les multiples jeunes qui deviennent par désespoir, de potentiels candidats à l'exil.
Des réfrigérateurs, des ventilateurs, des chambres froides à l'arrêt, des postes téléviseurs à jamais éteints, des centaines de mètres à parcourir pour laisser le téléphone portable à la « charge ». La nuit, les rares lampadaires alimentés comme ceux du « Boulevard Raoul » sont investis par une foule d'étudiants qui révisent pendant que les familles qui ne peuvent s'acheter un groupe électrogène retournent à l'ère des bougies et des lampes lucioles.
C'est durant ces grandes parenthèses de vie que j'enquête sur l'acheminement du courant, les mécanismes de survie et les multiples jeunes qui deviennent par désespoir, de potentiels candidats à l'exil.
Le Congo Brazzaville : une réalité, celle des coupures quotidiennes d'électricité. Un quartier sans cesse dans le noir, le mien. Après plusieurs années passées à l'étranger, je vais replonger dans cette réalité.
Des réfrigérateurs, des ventilateurs, des chambres froides à l'arrêt, des postes téléviseurs à jamais éteints, des centaines de mètres à parcourir pour laisser le téléphone portable à la « charge ». La nuit, les rares lampadaires alimentés comme ceux du « Boulevard Raoul » sont investis par une foule d'étudiants qui révisent pendant que les familles qui ne peuvent s'acheter un groupe électrogène retournent à l'ère des bougies et des lampes lucioles.
C'est durant ces grandes parenthèses de vie que j'enquête sur l'acheminement du courant, les mécanismes de survie et les multiples jeunes qui deviennent par désespoir, de potentiels candidats à l'exil.